TEXTE DE GEORGES ROBERT
Louise de Chazal s’en est allee le 18 novembre. Texte de Georges ROBERT

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From left to the right :

Marie Claude Souchon, Georges et Philippe Souchon et
LOUISE DE CHAZAL
Louise de Chazal est née le 29 novembre 1913 à Villa Sylvain, la maison familiale curepipienne de ses parents Edgar et Emma. Elle était la onzième enfant et la dernière fille d’une famille de 13 enfants et elle a été la dernière à s’en aller, le 18 novembre 2006.
Elle n’était pas mariée et s’est beaucoup intéressée et dévouée, alors qu’elle était jeune, à l’éducation de ses neveux qui, en periode scolaire habitaient Villa Sylvain, afin d’avoir accès aux écoles de Curepipe. Elle les chaperonnait à l’occasion, ce qui faisait sa nièce Elaine Hart dire qu’elle était “la gardienne des vertus de la famille Chazal”.

Pendant la guerre elle a servi la cause de la liberté dans le “Civil Defence”. Après la guerre, elle est partie pour l’Afrique du Sud où elle s’est établie et a travaille, d’abord à Durban puis à Cape Town où elle a passé les cinquante dernières années de sa vie.

Elle était tres croyante et tres attachee aux enseignements de la Nouvelle Eglise où elle comptait de nombreux amis.

Elle était toujours une joyeuse vivante et se contentait de peu pour être heureuse. Son neveu Philippe Souchon et sa famille, qui habitent Cape Town, l’ont beaucoup entourée pendant ses dernières années, et ses autres neveux restaient proches d’elle par l’affection, les appels téléphoniques et des visites à l’occasion.

ENGLISH TRANSLATION : CHRISTOPHER DE CHAZAL
Louise de Chazal was born on 29th November 1913 at Villa Sylvain in Curepipe, Mauritius, the family home of her parents, Edgar and Emma. She was the eleventh child, and the last daughter, of a family of thirteen children, and is the last one to survive: she died on 18th November 2006.
Louise never married. In her younger days she was much interested and devoted to the education of her nephews and nieces, who, in term time, lived at Villa Sylvain, so as to have access to schooling in Curepipe. She sometimes acted as chaperone to them, leading her niece Elaine Hart saying of her that she was « The Guardian of the Chazal Family Virtue »

During World War II she served the allied cause in the Civil Defence Corps. After the war she went to South Africa where she settled and worked, first of all in Durban and subsequently in Cape Town where she spent the final fifty years of her life

Louise was a Christian believing in the teachings of Swedenbourg. She had many friends in the New Church.

She was always joyful and lively and needed little to be happy. Her nephew Philippe Souchon and his family, who lived in Cape Town, spent many hours with her during her last years, and her other loving nephews and nieces kept close to her through telephone calls and frequent visits.
Message Added: December 5, 2006